EDIT 2021 : l’opération s’est terminée et Chapka a reversé 7700 € à Wires. Plus d’infos ici.
Comme vous le savez, le sud-est de l’Australie est frappé depuis plusieurs semaines par de très violents incendies, qui ont brûlé l’équivalent de la superficie du Portugal ou de la Corée du Sud. Les feux sont dévastateurs pour la terre, pour les populations et également pour les animaux, lesquels sont souvent livrés à eux-mêmes.
Chapka Assurances a donc décidé de reverser 1 € à l’association WIRES pour toute souscription au contrat Cap Working Holiday à destination de l’Australie, et ce jusqu’à la fin de l’année.
WIRES est une association australienne créée en 1985 dont le but est de préserver la faune, de sauver les animaux sauvages et de les réhabiliter dans leur milieu naturel. Il s’agit d’une organisation à but non lucratif, qui fonctionne grâce aux dons.
Les autorités australiennes souhaitent que les voyageurs continuent à venir en Australie afin découvrir leur magnifique pays. Si vous avez prévu de partir en Australie en visa vacances travail (Working Holiday Visa), vous devrez obligatoirement souscrire une assurance voyage couvrant au minimum l’assistance, le rapatriement, le remboursement des frais de santé et la responsabilité civile. Le Cap Working Holiday répond à ces exigences.
J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.
Bonjour Emile,
Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !
Bonjour Margot,
Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
« Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
Merci pour la réponse en tout cas.
Bonjour Emile,
Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.
Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.